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Cardiomyopathies

Publié le  Lecture 5 mins

Un ECG normal permet-il d'éliminer une cardiomyopathie hyperthrophique ?

P. CHARRON, hôpital Pitié-Salpêtrière, Paris

Le diagnostic de cardiomyopathie hypertrophique (CMH) est souvent aisé en pratique clinique parce que l’on est face à une forme caricaturale de la maladie et que l’on dispose, avec l’ECG et l’échocardiographie, d’outils remarquablement performants à cet égard. Cependant, dans des situations de plus en plus fréquentes, le clinicien peut éprouver de réelles difficultés pour interpréter les résultats et notamment pour écarter le diagnostic. Il s’agit par exemple de la rédaction d’un certificat d’aptitude au sport chez un consultant sans antécédent personnel ni familial de cardiomyopathie, ou encore d’une enquête cardiologique familiale après le diagnostic d’une CMH avérée chez l’un des membres.
L’ECG garde ici toute sa place, et son interprétation doit être scrupuleuse.

L’ECG typique de CMH Le tracé typique (figure 1) retrouve l’association à des degrés divers de trois anomalies classiques : • une anomalie de repolarisation (segment ST et ondes T), • une hypertrophie ventriculaire gauche électrique, • des ondes Q de pseudo-nécrose. Figure 1. Tracé ECG et image...

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